Seul sur scène, Pierre Tereyge se joue des influences qui ont façonné sa personnalité musicale, il classe et déclasse sa discothèque intérieure, l'improvisation dérangée et le chant dégenré ne connaissent pas d'ordre alphabétique. Une combustion spontanée, ludique et irrévérencieuse comme un pied de nez à ses déterminismes.

Il invite ici un compagnon de route qu'il aime et qu'il admire, Guillaume Latil, au violoncelle.

On ne stationne pas dans l'impasse !